Cette année encore, Walter Van Beirendonck nous invite dans un univers éthéré et lugubre à la fois, propre à sa folie : tandis que d’un côté nous trouvons de fortes connotations à l’oeuvre déjantée Les aventures d’Alice au Pays des Merveilles de Lewis Carroll notamment par le biais des couvre-chefs : des haut-de-forme décalés et élégants,…